la Maritza (1968)
La Maritza c´est ma rivière
Comme la Seine est la tienne
Mais il n´y a que mon père
Maintenant qui s´en souvienne
Quelquefois
De mes dix premières années
Il ne me reste plus rien
Pas la plus pauvre poupée
Plus rien qu´un petit refrain
D´autrefois :
La la la la...
Tous les oiseaux de ma rivière
Nous chantaient la liberté
Moi je ne comprenais guère
Mais mon père, lui, savait
Ecouter
Quand l´horizon s´est fait trop noir
Tous les oiseaux sont partis
Sur les chemins de l´espoir
Et nous on les a suivis,
A Paris
{Parlé}
De mes dix premières années
Il ne reste plus rien... rien
{Chanté}
Et pourtant les yeux fermés
Moi j´entends mon père chanter
Ce refrain :
La la la la
Comme la Seine est la tienne
Mais il n´y a que mon père
Maintenant qui s´en souvienne
Quelquefois
De mes dix premières années
Il ne me reste plus rien
Pas la plus pauvre poupée
Plus rien qu´un petit refrain
D´autrefois :
La la la la...
Tous les oiseaux de ma rivière
Nous chantaient la liberté
Moi je ne comprenais guère
Mais mon père, lui, savait
Ecouter
Quand l´horizon s´est fait trop noir
Tous les oiseaux sont partis
Sur les chemins de l´espoir
Et nous on les a suivis,
A Paris
{Parlé}
De mes dix premières années
Il ne reste plus rien... rien
{Chanté}
Et pourtant les yeux fermés
Moi j´entends mon père chanter
Ce refrain :
La la la la
Grâce au sens mélodique de Jean Renard e à la plume de Pierre Delanoë, Sylvie Vartant faisait ses adieux aux années 60 avec un bien bel hommage à sa Bulgarie natale. La Maritza est en effet avec le Danube, le grand fleuve qui traverse la Bulgarie. En dépit du petit scandale qui a accompagné la sortie du disque, puisque le refrain de cette chanson a été jugé comme un plagiat de celui des "Feuilles Mortes" de Kosma, "La Maritza" n'en a pas moins été un beau succès pour Sylvie Vartan.
je ne vois pas le rapport entre les deux mélodies: "La Maritza" est très différente des "Feuilles mortes".
RépondreSupprimer