jeudi 18 avril 2013

Quand tu m'aimes

Quand tu m'aimes (1987)

 Fébrilement je t´attends
Je suis en manque de toi
Je me languis de ton parfum
Sentir ta bouche effrontée
  Épouser tous mes rêves
Dans un délicieux va et vient
Retenir nos élans
Pour que la nuit
N´en finisse pas
Tout oublier
Sous mes doigts impatients
Trouver ta voie sacrée

Je n´ai qu´un pays
Celui de ton corps
Je n´ai qu´un péché
Ton triangle d´or
Je découvre en toi
Toutes les audaces
Quand tu m´aimes

Lorsque tu dénoues
Tes jupons soyeux
Moi je m´engloutis
Au fond de tes yeux
Ta gorge étincelante
Tes buissons secrets
Quand tu m´aimes

Je ne pense plus qu´à me perdre
Au plus profond de toi
Et ta peau manque à ma peau
J´ai perdu le sommeil
Et je n´arrive plus à travailler
Je n´en peux plus
Je paie le prix que paie
Le vice à la vertu

Je n´ai qu´un pays
Celui de ton corps
Je n´ai qu´un péché
Ton triangle d´or
Je découvre en toi
Toutes les audaces
Quand tu m´aimes

Je souscris à tous
Ces plaisirs sublimes
Et soudain tu trouves
La caresse ultime
Qui arrache en moi
Un cri de victoire
Quand tu m´aimes


Révélé à la fin des années 60 avec "Quelque chose en toi tient mon coeur", Herbert Léonard, après un changement de carrière, revient à la chanson au début des années 80. Si l'on connait, "Pour le plaisir" et son duo avec Julie Pietri, "Amoureux fous" il faut aussi faire mention de "Quand tu m'aimes" où le charme d'Herbert Léonard fait encore des ravages sur la gent féminine. 



 

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