mercredi 13 mars 2013

la Tendresse

la Tendresse (1973)

La tendresse
C´est quelquefois ne plus s´aimer mais être heureux
De se trouver à nouveau deux
C´est refaire pour quelques instants un monde en bleu
Avec le cœur au bord des yeux
La tendresse, la tendresse, la tendresse,
La tendresse.

La tendresse
C´est quand on peut se pardonner sans réfléchir
Sans un regret sans rien se dire
C´est quand on veut se séparer sans se maudire
Sans rien casser, sans rien détruire
La tendresse, la tendresse, la tendresse,
La tendresse.

La tendresse
C´est un geste, un mot, un sourire quand on oublie
Que tous les deux on a grandi
C´est quand je veux te dire je t´aime et que j´oublie
Qu´un jour ou l´autre l´amour finit
La tendresse, la tendresse, la tendresse,
La tendresse.

La tendresse, la tendresse, la tendresse,
La tendresse.

{parlé} Allez viens.


 C'est après avoir écumé les clubs de Saint Germain des Prés que Daniel Guichard est entré au sein de la maison Barclay en 1973. Il y a aussitôt enregistré "La Tendresse", une composition de Patricia Carli (qui avait chanté dix ans plus tôt "Demain, tu te maries") et de Jacques Ferrière dont il avait réécrit le texte. Une voix grave, triste, a fait d'un coup de Daniel Guichard l'héritier de la chanson réaliste d'hier

 

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